- S’inscrire dans une démarche de sobriété lumineuse permet de réduire les coûts énergétiques et économiques de l’éclairage et ainsi de relever le défi de la transition énergétique.
- Elle permet également de réduire significativement les impacts sur la biodiversité, en choisissant par exemple de ne pas éclairer dans les zones naturelles ou de privilégier des températures de couleur moins néfastes pour les espèces animales et végétales.
- Enfin, la santé humaine peut facilement être préservée par des éclairages publics optimisés, c’est-à-dire dont l’éclairage est contrôlé et non diffusé en continu (heures d’extinctions en quartier résidentiels, etc.).
Pour cela, les CPIE proposent de sensibiliser, mobiliser et d’impliquer les citoyens. Aujourd’hui, selon l’ANPCEN,“79% des Français sont favorables à la réduction de la durée d’éclairement en milieu de nuit des éclairages publics […], là où ils n’étaient que 48 % en 2012”( https://www.anpcen.fr/). Ainsi, en mobilisant les citoyens, il reste possible de réduire l’éclairage public, tout en prenant en compte leurs avis.